Bilan de l'Oxygène
Le paramètre bilan de l'Oxygène se calcule en tenant compte de l’Oxygène dissous, du taux de saturation en oxygène, de la demande biologique en oxygène pendant 5 jours et du Carbone organique dissous.
Agence de l’Eau Loire-Bretagne - Analyse selon les règles d'évaluation de l'Etat des Eaux : Résultats de l’année 2019
En 2019, 59% des stations sont en très bon ou bon état pour le bilan d’oxygène (64% en 2018). 11% des stations sont en état médiocre ou mauvais. Depuis 2015, la tendance est globalement à la dégradation de ce paramètre.
(Selon les règles d'évaluation de l'Etat des Eaux)
Les facteurs de dégradation de la qualité de l’eau vis-à-vis de ce paramètre sont principalement les rejets urbains, industriels ou agricoles ou la localisation de la station de mesure à l’aval d’un plan d’eau.
Par ailleurs, l’année 2017 se caractérise par une pluviométrie faible. Le faible débit qui réduit la capacité de dilution et qui favorise l’augmentation des températures a donc impacté certains paramètres physico-chimique ou biologique de certains cours d’eau.
Une étude sur les origines des pollutions organiques et sur leurs impacts sur la qualité de l’eau du bassin de la Creuse a été menée en 2018. Ce diagnostic évalue le flux de pollution sur le bassin de la Creuse émanant de 3 sources principales :
- L’élevage,
- L’assainissement
- Et dans certains cas particuliers il s’agit de facteurs naturels liés à la présence de tourbière.
Suite à cette étude des préconisations adaptées à chaque sous territoires ont été définies et confrontées aux actions déjà menées.
La qualité vis-à-vis du bilan d’oxygène a tendance à se dégrader depuis 2013.
(Selon les règles d'évaluation de l'Etat des Eaux)
En 2019, 59% des stations sont en très bon ou bon état pour le bilan d’oxygène (64% en 2018). 11% des stations sont en état médiocre ou mauvais. Depuis 2015, la tendance est globalement à la dégradation de ce paramètre.
(Selon les règles d'évaluation de l'Etat des Eaux)
Les facteurs de dégradation de la qualité de l’eau vis-à-vis de ce paramètre sont principalement les rejets urbains, industriels ou agricoles ou la localisation de la station de mesure à l’aval d’un plan d’eau.
Par ailleurs, l’année 2017 se caractérise par une pluviométrie faible. Le faible débit qui réduit la capacité de dilution et qui favorise l’augmentation des températures a donc impacté certains paramètres physico-chimique ou biologique de certains cours d’eau.
Une étude sur les origines des pollutions organiques et sur leurs impacts sur la qualité de l’eau du bassin de la Creuse a été menée en 2018. Ce diagnostic évalue le flux de pollution sur le bassin de la Creuse émanant de 3 sources principales :
- L’élevage,
- L’assainissement
- Et dans certains cas particuliers il s’agit de facteurs naturels liés à la présence de tourbière.
Suite à cette étude des préconisations adaptées à chaque sous territoires ont été définies et confrontées aux actions déjà menées.
Vous pouvez consulter les rapports qui en découlent ici.